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passe sanitaire - Page 3

  • Un mur s’érige au Vatican : passe sanitaire obligatoire

    Publié par Guy Jovelin le 21 septembre 2021

    Vatican bouclé au passe sanitaire : le pape des ponts, des périphéries, de l’Eglise en sortie, des anathèmes redondants contre les bâtisseurs de frontières, érige une barrière contre les non-vaccinés, pestiférés à mettre hors les murs. La ‘charité’ bergoglienne est à deux vitesses…

    Ainsi, à partir du 1er octobre prochain, il sera obligatoire de présenter le laissez-passer vert pour accéder au Vatican, à la seule exception des fidèles qui « participent aux célébrations liturgiques pendant le temps strictement nécessaire à l’accomplissement du rite, en respectant les prescriptions sanitaires sur la distanciation, sur l’utilisation des dispositifs de protection individuelle, sur la limitation de la circulation et du rassemblement des personnes et sur l’adoption de règles d’hygiène spécifiques ».

    La nouvelle règle a été établie, avec une ordonnance, par le gouvernorat de la Cité du Vatican, après l’audience avec le pape François. Bergoglio, dans un discours aux injonctions contradictoires, a réitéré qu’ « il est nécessaire d’assurer la santé et le bien-être de la communauté de travail tout en respectant la dignité, les droits et les libertés fondamentales de chacun de ses membres ». Comme si le Green Pass respectait les droits et libertés fondamentales, et accidentellement la santé…

    Le Vatican se conforme donc aux directives du gouvernement italien, rendant obligatoire la certification verte pour la majorité des travailleurs. Le passage de l’ordonnance qui introduit la nouvelle législation se lit comme suit :

    « À partir du 1er octobre, l’entrée dans l’État de la Cité du Vatican et les zones visées aux articles 15 et 16 du Traité du Latran est autorisée uniquement aux sujets avec certificat numérique Covid de l’État (pass vert Vatican), du certificat numérique Covid visé à l’article 4, §1er de l’arrêté numéro CDXXXII du 15 juillet 2021 (pass vert européen) ou de la certification verte Covid-19 étrangère prouvant le statut de survenue de la vaccination contre le Sars -Cov-2 ou la récupération du Coronavirus grâce à un test sérologique, ou un test antigénique avec un résultat négatif. »

    Le contrôle du respect des dispositions sera dévolu à la Gendarmerie du Vatican. L’obligation du laissez-passer vert est prévue pour les citoyens résidants au Vatican, pour le personnel en service, pour quelque raison que ce soit, dans le gouvernorat de l’État de la Cité du Vatican et dans les différents organes de la Curie romaine et des institutions qui lui sont rattachées, à tous les visiteurs externes et utilisateurs de services. Seuls ceux qui vont à la messe seront dispensés de présenter la certification verte. Jusqu’à présent, depuis le 6 août dernier, le passe vert n’était nécessaire que pour entrer dans les musées du Vatican.

    Qui a été aussi loin que le pape François ? Il devance les autres gouvernements en rendant le passe sanitaire obligatoire même pour vivre au Vatican. De jamais vu auparavant…

    El papa argentin, le jésuite en blanc, est décidemment un agent complaisant et résolu du Nouvel Ordre Mondial qui est en train de s’installer partout en Occident sous couvert d’une crise sanitaire en trompe-l’œil.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • France, Italie, et combien d’autres pays : mêmes absurdités quant au passe sanitaire

    Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2021

    Auteur : 

    Oyez, oyez, braves Français : si vous croyez que le banquier Macron et son gouvernement de néo-technocrates douteux et néophytes véreux, est le seul à pondre des normes absurdes quant au passe sanitaire, détrompez-vous. En Italie, sous la houlette du banquier Draghi, -et oui la banque est aux commandes dans le Bel Paese aussi-, le Green Pass, comme on l’appelle là-bas, -petite indication qu’il est là pour durer et servir à une urgence climatique qui pointe à nouveau le bout de son nez-, donne lieu à des situations ubuesques, si ce n’est tragiques ! Et vous remarquerez que c’est le même schéma normatif, autre indication que nos pays européens sont soumis à des ordres supranationaux…

    Petite compilation des absurdités listées par un quotidien italien :

    « Si les pompiers n’ont pas le Green Pass, ils ne peuvent pas prendre l’hélicoptère. Ceux qui ont un besoin urgent d’aide peuvent également mourir, la faute ne reviendra qu’à ceux qui ne se font pas vacciner ou qui ne font pas leur test à temps. En sommes-nous arrivés là ? Oui, apparemment. C’est arrivé dans le Trentin, mais ce n’est pas la seule absurdité de nos jours.

    Depuis hier 1er septembre, une série de nouvelles obligations Green Pass a été déclenchée. Le passe sera désormais obligatoire dans les restaurants et bars avec service de table en salle, spectacles, événements sportifs, piscines, gymnases, expositions, musées et autres lieux de culture, une réglementation complexe pour les mariages est introduite, il sera toujours obligatoire pour les enseignants et le personnel scolaire et à l’universitaire pour les enseignants et les étudiants, les avions, les bateaux, les trains, les bus longue distance. Le bon sens est déjà la première victime de cette campagne et les premiers événements tragi-comiques provoqués par ces nouvelles obligations sont là pour le prouver.

    Le même règlement cet été a prouvé que prendre un bus bondé ne nécessite pas de Green Pass, alors qu’il est obligatoire pour prendre un train interrégional avec un siège réservé. Où est le plus le risque de contagion ? Dans le bus pour aller au travail (surtout maintenant que tout le monde retourne en masse au travail) ou dans le train où vous êtes déjà espacé ? Vous risquez plus dans un métro bondé (pas de Green Pass) ou dans un avion (Green Pass obligatoire) avec air filtré et espacement ? Dans une église où l’on assiste à un concert, lorsqu’il y a un événement culturel : le Green Pass. Dans la même église, si une messe est célébrée : pas de Passe Vert. Dans un bar, si on consomme au comptoir, il n’y a pas besoin de Green Pass, si l’on s’assoit à table, dans la même pièce, il faut le montrer au barman. Doit-on continuer ? Oui bien sûr : même pour entrer sur une place, en cas d’événement sportif ou culturel, il faut présenter le Passe Vert, mais si l’on passe par la même place, peut-être avec plus de monde aux heures de pointe, il n’est pas nécessaire.  

    La nouvelle série d’obligations déclenchée hier a déjà provoqué une nouvelle compétition de zèle dans l’application de la norme, avec un grand mépris du ridicule. L’Université de Trieste a introduit l’obligation d’un Green Pass pour les étudiants et les enseignants également au cours des examens à distance. Vous avez bien lu : à distance. Par conséquent, deux personnes se parlant depuis une webcam, à des kilomètres l’une de l’autre, doivent être en possession du Green Pass, comme s’il y avait un risque de contagion. Le recteur, Roberto di Lenarda, a expliqué sa décision en ces termes : l’obligation de posséder le laissez-passer n’a pas été établie dans le but de “garantir à aucun vacciné de rester chez lui et de passer ses examens à distance”. En ce sens, ajoute Di Lenarda, “l’obligation sert à inciter les élèves à se faire vacciner”. Sincérité bénie, utile pour ceux qui croyaient encore que le Passe Vert était une mesure de sécurité pour protéger notre santé, pas un décret éthique de l’État pour encourager les citoyens à se comporter de manière vertueuse.

    Et maintenant nous arrivons au cas des pompiers. Cela se passe à Trente, la nouvelle est donnée par le journal localIl Dolomiti. Nous rapportons textuellement : « Une voiture au fond du lac de Garde et l’alarme pour le risque que quelqu’un soit coincé à l’intérieur de l’habitacle. Il a fallu une heure et demie aux plongeurs du Trentin pour atteindre Campione du côté de Brescia. Un voyage en van à jongler avec la circulation et les virages le long de la route nationale du Gardesan le dernier dimanche d’août. La raison ? Sans un laissez-passer vert, ils n’ont pas pu monter dans l’hélicoptère et voler en 15 minutes environ, déjà en équipement de secours, directement vers la cible. La ponctualité est la clé des opérations de secours mais les délais se sont incroyablement allongés : sans vaccination ni tampon négatif de 48h vous ne décollez pas mais vous conduisez et tout s’allonge. » Heureusement, la voiture était vide et il n’y a eu aucune victime. Toutefois, notez au moins deux choses. La première : sans le Green Pass, vous ne pouvez pas monter à bord d’un hélicoptère, mais vous pouvez voyager en van. Une heure et demie de trajet en van est donc considérée comme moins dangereuse, aux fins de l’infection, qu’un quart d’heure en hélicoptère. Et c’est la moindre des choses. Le vrai problème est le deuxième aspect : vous préférez risquer de tuer une personne en commettant le crime de mort injustifiée, afin de respecter à la lettre le règlement Green Pass. Il ne serait pas poli de recourir à des comparaisons avec des régimes totalitaires sanglants, mais des choses similaires ne se sont produites que dans les États soviétiques.

    Et la cerise sur le gâteau, en fait, c’est le commentaire du responsable local : “Cette fois, ça s’est bien passé parce qu’il n’y avait personne à sauver, déclare Raffaele De Col, le directeur général du Département de la protection civile du Trentin à Il Dolomiti. Mais il n’en demeure pas moins qu’il y a eu un retard dans l’intervention du fait d’opérateurs sans vaccination ni tampon (la rédaction souligne). L’espoir est qu’il serve à ébranler la conscience de ces gens ». La conscience de ceux qui introduisent ces règles, en revanche, est parfaitement en paix. »

    Même dictature sanitaire avec ses règles absurdes et tragi-comiques d’un côté de l’autres des Alpes, dictature qui veut s’imposer au monde entier…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : .medias-presse.info

  • Macron devrait suivre l’exemple du Danemark qui abandonne aujourd’hui l’utilisation du passe sanitaire

    Publié par Guy Jovelin le 02 septembre 2021

    Permettons-nous de donner un petit conseil à Emmanuel Macron, Castex, Véran et consorts. Qu’ils observent ce qui se passe aujourd’hui au Danemark !

    Le Danemark est le premier pays à avoir imposé un passe sanitaire à sa population. Et le gouvernement danois vient de faire marche arrière. A partir de ce 1er septembre, le passe sanitaire est abandonné.

    Hélas, loin de suivre pour l’instant l’exemple danois, les autorités politiques françaises préfèrent appliquer dans l’hexagone les recettes totalitaires chinoises.

     

    Source : medias-presse.info

  • Passe sanitaire, avortement sélectif, vague migratoire afghane : le grand silence féministe

    Publié par Guy Jovelin le 01 septembre 2021

    Gabrielle Cluzel

    Ecrivain, journaliste

     

    Mais où sont donc passées les féministes institutionnelles ? Toujours sur la plage, mesdemoiselles ?

    Pourtant, en cette fin d’été, il y a du pain sur la planche.

    Il y a ces troubles menstruels dont se plaignent un nombre non négligeable de femmes vaccinées. Même si l’Agence nationale de  du médicament, qui a analysé 310 cas, a affirmé ne pas avoir pu établir de lien avec la vaccination, l’Agence européenne du médicament demande des données supplémentaires aux laboratoires. Il ne devrait pas en falloir plus pour convaincre quelques lanceuses d’alerte de relayer les réticences des  femmes – infirmières, médecins, policières, serveuses… – quant au vaccin. Aucune personnalité, dans les médias, pour faire valoir la légitimité de leur doute eu égard au précédent proprement féminin Distilbène™ ? Le principe de précaution aurait-il disparu de la circulation ?

    Il y a bien, ici et là, sur les réseaux sociaux, quelques féministes radicales – comme « Camille et Justine », 87.600 abonnés Instagram – pour se faire l’écho de cette omerta (« Chaque personne qui voit son cycle perturbé depuis l’injection panique tranquillement dans son coin »), mais aucune Caroline De Haas ou Marlène Schiappa pour porter médiatiquement le sujet.

    Car la féministe est avec le dogme dominant comme la femme soumise avec le mâle du même nom : collée, dépendante, silencieuse.

    De la même façon, vous ne les entendrez pas faire de publicité à l’étude publiée, le 2 août dernier, dans la revue BMJ Global Health, estimant à 4,7 millions de femmes le déficit dont serait responsable l’avortement sélectif pour les dix prochaines années : « Pratiqué depuis les années 1970 dans plusieurs pays de l’Europe du Sud et en Asie, comme en Chine ou en Inde » et arrivant désormais sous nos latitudes à la faveur de l’immigration, ce déficit de femmes pourrait avoir des « répercussions durables ». À quoi bon imposer la parité dans les conseils de surveillance du CAC 40 si on ne la maintient pas là où elle existait jadis naturellement, entendez à la naissance ? Mais on ne touche pas à la sacro-sainte IVG. Suggérer de réduire le délai légal plutôt que l’allonger afin d’éviter que soit clairement identifié le sexe du bébé serait déjà un crime de lèse-majesté. Puis ce sujet est glissant : il peut jeter l’opprobre sur d’autres que les Occidentaux qui, seuls, doivent comparaître, comme on sait, au banc des accusés. Donc, elles se taisent. Intellectuellement cloîtrées derrière leur moucharabieh.

    Ultime sujet l’Afghanistan. Là, attention ! Les féministes se sont réveillées.

    Car cette fois, la condition féminine est un bon marchepied pour les sans-frontiéristes patentés. Sous le hashtag « sororité sans frontière », de  à Sandrine Rousseau en passant par les caciques d’Osez le féminisme !, on a manifesté, signé des tribunes pour réclamer au chef de l’État « un droit d’asile inconditionnel des femmes afghanes et leurs proches » (sic). Mais comment circonscrire la proximité ? Frères, maris, pères, cousins, voisins, tant qu’on y est… les persécutées avec les persécuteurs, histoire de reconstituer en France l’Afghanistan tout entier et, ainsi, importer son exotique mais moyennement romantique conception des relations hommes-femmes, quelle merveilleuse idée.

     

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    Car les talibans ont bon dos. En 2011, selon un  du Pew Research Center, 99 % des Afghans disaient soutenir la charia et 85 % la lapidation en cas d’adultère… Et comme l’écrivait, en 2015, un journaliste afghan sur le site de France 24évoquant la récente lapidation d’une femme dans la région de Ghalmin : « [Les] violences ne sont pas limitées aux zones contrôlées par les talibans, mais ont aussi cours dans des régions totalement contrôlées par le gouvernement […]. Des châtiments ont d’ailleurs eu lieu en présence de responsables locaux ou de la police. »

    En plus d’être soumises, nos féministes croient aux conte de fées, avec ses gentils très beaux et ses méchants très vilains. Cliché féminin, quand tu nous tiens.

     

    Source : bvoltaire

  • Passe sanitaire : quelle surveillance redouter ?

    Publié par Guy Jovelin le 30 août 2021

    Passe sanitaire : quelle surveillance redouter ?

    Les critiques du passe sanitaire dénoncent unanimement un « danger autoritaire ». Assez justement, la CNIL elle-même présente ce danger comme « le risque d’accoutumance et de banalisation de tels dispositifs attentatoires à la vie privée et de glissement, à l’avenir, et potentiellement pour d’autres considérations, vers une société où de tels contrôles deviendraient la norme et non l’exception ». Prenons un instant pour détailler ce danger et répondre à la question : de quel type de surveillance le passe sanitaire est-il l’expression ?

    Il existe déjà de nombreux « dispositifs attentatoires à la vie privée » contre la généralisation desquels nous luttons depuis des années : écoutes téléphoniques, fichage, caméras, drones, géolocalisation, logiciels espions… Pour comprendre et prévenir les dangers posés par le passe sanitaire, il faut le situer précisément au sein de cet écosystème. Certains outils de surveillance sont plus ou moins faciles à déployer, à plus ou moins grande échelle, de façon plus ou moins visible et avec des conséquences très variables. En comprenant dans quel mouvement technologique et à partir de quels outils pré-existants le passe sanitaire s’est construit, nous espérons lutter plus efficacement contre la banalisation du type de surveillance qu’il permet.

    Contrôler pour exclure

    Pour prendre du recul, décrivons de façon générale l’action que permet de réaliser le passe sanitaire : exclure de certains emplois, transports et lieux des personnes dont la situation diffère de certains critères fixés par l’État.

    Formulé ainsi, ce mode de régulation n’a rien de nouveau. C’est notamment de cette façon que l’État français traite les personnes étrangères : l’accès aux transports vers le territoire national, puis l’accès au séjour et à l’emploi sur le-dit territoire n’est permis que si la situation des personnes étrangères est conforme à des critères fixés par l’État (situation personnelle familiale et économique, pays d’origine, âge…). Le respect des critères est vérifié une première fois en amont puis se traduit par la délivrance d’un titre : visa, cartes de séjour, etc. Ensuite, la police n’a plus qu’à contrôler la possession de ces titres pour contrôler la situation des personnes, puis leur ouvrir ou leur fermer les accès correspondants. En menaçant d’exclure du territoire ou de l’emploi les personnes ne disposant pas du bon titre, l’État déploie une lourde répression – les conséquences pour les personnes exclues sont particulièrement dissuasives.

    Toutefois, jusqu’à peu, ce type de répression avait d’importantes limitations pratiques : les titres ne pouvaient être délivrés qu’avec un certain délai et à un certain coût, de nombreux policiers devaient être déployés pour les vérifier et certains policiers devaient même être spécifiquement formés pour en vérifier l’authenticité. Ces limitations expliquent sans doute en partie pourquoi ce type de répression s’est jusqu’ici centré sur des cas précis (tel que le contrôle des personnes étrangères) sans être systématiquement déployé pour gérer n’importe quelle situation que l’État souhaiterait réguler.

    Le passe sanitaire est la traduction d’évolutions techniques qui pourraient supprimer ces anciennes limites et permettre à cette forme de répression de s’appliquer à l’ensemble de la population, pour une très large diversité de lieux et d’activités. Lire la suite sur le site de la Quadrature du Net !

     

    Source : ndf